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Death Metal

  • Seven Inches of Death - Andreas Hertkorn & Dima Andreyuk

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    S’il est devenu facile de trouver des biographies de groupes, des livres sur toute une scène, il devient difficile de trouver des livres qui traitent de musique, et de disques.
    Les disques, un sujet borné aux magazines, fanzines, et difficilement le sujet d’un livre, tout underground soit-il ?
    Il est vrai que l’anthologie, la critique de disques devient un peu vaine avec l’accès immédiat, gratuit et boulimique de la musique sur l’interweb.
    Quant aux disques, ce même interweb nous permet de découvrirl’existence de sorties totalement inconnues jusque là, avec tout le détail, et en plus, sa cote. Si écouter de la musique est devenu (faussement) gratuit, posséder ou rechercher un disque est lui complètement lié à l’argent. On possède un disque, on regarde tout de suite ce qu’il vaut.

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  • Enjoy the Violence - Sam Guillerand & Jérémie Grima

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    Ah !! Un livre qui s’intéresse enfin à la scène française ! Après les scènes suédoise, anglaise, finlandaise, il était temps !

    Mais attention. Quand il s’agit de mon terroir, je suis prudent. Chauvinisme oblige, et las de la production française, je regarde plusieurs choses avant de m’emballer. D’une part, l’éditeur. Non pas que ce soit déterminant, mais ça en dit assez long sur la qualité de l’ouvrage et évidemment, de son rendu final. A savoir si la reprographie à pas cher rend suffisamment sur les photos, et si les pages ne vont pas me rester dans les doigts. De deuze, l’auteur. Parce que l’expérience a montré que les bouquins écrits par des curés ou des sociologues, c’est de la merde, et ce n’est même pas à destination des fans de musique. Du coup là, s’approprier ce qui m’appartient d’une certaine manière, va pas falloir déconner, je ne laisserai rien passer !

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  • WE ARE FRENCH, FUCK YOU !

     

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    Oh, la belle compil. Sortie un 14 juillet, peut-être quelques petits malins se seront aventurés à la glisser au programmateur de musique du bal des pompiers, couleurs du drapeau à l'appui, en espérant pirater la prog désespérante, et se faire jeter comme des malpropres quand le pot aux roses fût découvert...

    We Are French, Fuck You, enfin une expression qui ne restera plus accolée à l'affligeant Gronibard, sorte de modèle de la déliquescence métalleuse française actuelle : Death Metal Grind et humour pipi caca. La même merde qui fait venir des gens déguisés au Hellfest, et qui empoisonne le milieu. Mêler humour attardé et musique, musique pour enfants attardés ? Tas de cons.

    Enfin ouf, cette compil échappe à cette chiasse ambiante. En préambule, le label Triumph ov Death, à l'origine du projet, évoque la compil Brutale Génération, sortie il y a vingt ans.
    Nouveau piège. Non, cette compil est difficilement comparable à Brutale Génération, deux CDs sensés comporter la puissance du Metal français alors, qui en fait se retrouva être une sacrée douche froide... Les morceaux de Mercyless et Massacra étaient dans la veine qui les a perdus, ne restaient au final que Loudblast avec un titre bof, et on ne retenait que Misanthrope, Agressor et Crusher, grosso modo. Ca fait léger. La "brutale génération" était surtout composée de Metal Core machin, un mélange Hard Core et Metal mal branlé, le genre de truc qui a donné le Neo Metal dans d'autres contrées, ici... juste un pétard mouillé.

    Alors non, ce n'est ni Gronibard, ni Brutale Core Générachionne. C'est largement mieux ! Déjà, y a Chris Moyen qui s'occupe de la pochette, et il est connu pour sauver les meubles de disques souvent pas top. Non ne me demandez pas la liste, vous la connaissez. Elle augmente chaque mois.

    Et puis les groupes. Ici, pas de merde core. Pas de groupes dans le giron du label, poussés par un département promo qui veut en mettre un max partout. Non, ici la sélection est fine et cool. Très orientée Death et Thrash, il n'y a pas de Black Metal de type conventionnel. On trouve des nouveaux groupes, et d'autres plus anciens. A vrai dire, à part Imperial, aucun groupe n'existait à la sortie de Brutale Génération.

    J'enfourne la première galette, et la leçon est prise. Jab, jab, crochet, uppercut, esquive et encore un crochet derrière l'oreille. Ca fait mal tout de suite. On commence par Temple of Baal, que j'avais un peu lâché j'avoue, et là, un morceau excellent, construit, intelligent, et terriblement efficace. Ritualization suit, avec une batterie ultra bourrine et on respire à peine. Affliction Gate sort le paquet également, ça continue avec Skelethal, et bloum, le fameux Killing Spree Pandemy (pain de mie ?) de Perversifier. La claque ultra speed. Manzer fait office de temps mort avant la reprise, c'est un morceau live, mais... "epic fail" comme disent les jeunes. Pris à part, le morceau est cool, mais les autres groupes ont des morceaux studios, ou tout du moins bien produits et là, ce live fait un peu tâche d'encre... Le Poitou ne le pardonnera pas à Shaxul... Du coup, Imperial s'en sort mieux derrière, malgré un son de guitare pas très audible. Heureusement que le sens du refrain des compères Skrow et Qojau vient corriger ça. N'empêche, légère déception. Surtout qu'après, Hexecutor arrive et chamboule tout. Ca sent clairement la testostérone et le biactol, les jeunots en ont à revendre, et leur Thrash Speed défonce tout. Ca sent le sperme et la chaussette ! On continue avec Morgue, que je ne connaissais pas, un truc ultra bourrin à la limite du grind, mais grind façon école anglaise, hein, pas la merde... enfin je me comprends. Y a presque même un certain côté indus, qui rapproche vraiment de la scène anglaise Napalm Death/Godflesh en gros. On souffle un peu avec Conviction, qui n'est autre qu'un side-project d'Amduscias de Temple of Baal, cité plus haut. Bof, j'adhère moyen, surtout à cause de la voix qui tente un peu de singer St Vitus, mais le coffre en moins, et du coup on reconnait le timbre français de la voix, et je bloque. A écouter à part, sur la longueur d'un album, peut-être. On sent des qualités, mais pour cette compil, c'est pas sa place. Du coup on craint pour Mourning Dawn, bien doom aussi, et à cheval avec le black, mais au final, le morceau passe très bien. Mieux même que le côté tradi de Conviction. Une excellent conclusion à ce premier CD.

    Tiens y a un livret dans ce double digipack. Chaque groupe est présenté. Et en anglais. En fait on est français, on vous emmerde, mais en anglais. Pour bien que vous compreniez. Ah, c'est aussi écrit en français sur l'autre tranche. Ca fait marrer les gens qui retournent le CD, d'ailleurs. C'est aussi la force de cette compil. De l'humour, mais juste ce qu'il faut. Le peu que je connais le label à l'origine du truc, il a quand même bien dû se retenir.

    Hop on enchaine, on redémarre avec Demonic Oath, la face death old school de Perversifier. Bien evil, bien old school, mais je préfère Perversifier, à choisir. Suit Cadaveric Fumes, le compagnon de split LP, avec du encore plus death old school, mais plus punk, avec une basse qui claque à mort. On continue dans le swedish worship, mais plutôt Grave comme idole, avec Torture Throne. Une intro parfaite, lourdingue, une guitare Husqvarna, et le papier peint se décolle à force de vibrations. Suit Fall of Seraphs, plus speed, plus moderne d'une certaine manière, mais efficace à mort et un batteur qui s'amuse comme un petit fou. A suivre ! On retombe dans la lourdeur avec Necroblood, qui renvoie aux heures les plus sombres d'un Revenge. Un poil trop mimétique d'ailleurs, c'est louche ! on notera le mixage par un certain Cam, certainement le néo-zélandais de Witchrist et Diocletian ! Le prochain groupe est américain ? Non, Flesh Eaters est bien français. On s'y serait cru ! Ca me rappelle un peu le Malevolent Creation et Massacre... Evil Spells, c'est pareil. C'est pas américain ? C'est pas Paul Speckman ? merde alors... Ah par contre The Seven Gates c'est français. Ca s'entend. Le chant putain... tout ce que j'aime pas. Y a pourtant Michel de Mutilated/Abyssals, mais ce type de chant... non quoi. Ca gâche le plaisir. Faut remarquer d'ailleurs que c'est le seul groupe de la compil qui a ce type de chant tellement français. Enfin, chant, growl, mais pas bon, quoi. Depuis Dominate de Morbid Angel, plein de gens s'y sont essayés, mais il n'y a qu'un David Vincent. Enfin, non, il y en a deux. Le gars des extra-terrestres aussi. Et puis certainement une pléthore d'homonymes, mais bref. Passons. Abjvration clot la compil avec levr death metal noir et evil, et levr manie de mettre des v partovt. Alors ovi, povr evx, l'inflvuence est svrtovt les grovpes mi-death mi-black, à la Crvciamentvm, Necros Christos et consorts. Pas mal pour le coup, reste à voir comment ils vont tenir sur la distance et la durée. Une remarque qui vaut aussi pour d'autres groupes, Thrash ou Death de la compil, qui souvent, pondent un truc d'enfer au début, plein de fougue, de hargne, et au bout d'un EP, un MLP, un LP, commencent à changer de style, ayant tout dit dans les premières sorties.

    Mais bref, cette compil est un excellent aperçu de ce qu'a la France à offrir comme groupes de qualité. Evidemment, il manque des groupes (j'aurai très bien vu Vortex of End par exemple) mais ça reste un 2CD, on est pas dans le cadre d'une Brutale Génération avec un label derrière qui pousse des groupes de merde, ni dans fourre-tout à la Sometimes Death is Better aux multiples volumes en 3 CD, véritables fourre-tout qui en 2015, avec le minitel et internet, n'auraient de toute manière plus de raison d'être.

    La seule question qu'on peut se poser est, comment ranger ce putain de livret dans le digipack sans que ça soit le bordel ?

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    La compil est dispo auprès du label Triumph ov Death ou ici : http://www.forgottenwisdomprod.com/fr/cds/5344-we-are-french-fuck-you-compilation-2cd.html

  • Entartete Kunts - Dennis Dread

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    Entartete Kunts est le livre rassemblant les oeuvres et artistes d'une exposition qui a eu lieu à Portland, Oregon, aux USA, entre 2007 et 2009. Le terme Entartete Kunts fait référence à l'allemand "entartete Kunst", ou "art dégénéré", pour qualifier les oeuvres prohibées du temps des nazis. Dennis Dread a donc détourné ce terme pour cette expo, dont voici - enfin le bouquin, fruit de quatre ans de travail.

    Et tout de suite, on apprécie le travail. Le bouquin est superbe, couverture toilée, papier glacé... et tout couleur (ici c'est la version couverture reliée, à 400 ex., il existe une version couverture souple limitée à 600 exemplaires).
    Dennis Dread, l'auteur de ce livre d'illustrations a découpé le livre en trois parties. J'avoue ne pas trop bien comprendre pourquoi, mais je n'ai pas fini de lire l'introduction, ah ah ! Oui je me précipite pour écrire cette note. Chaque illustrateur/peintre/artiste est présenté via une rapide biographie, et sur plusieurs pages sont reproduites quelques unes de leurs oeuvres. Quelques artistes ont droit à une interview : Joe Petagno et Jos A. Smith (le créateur du bouc de Bathory, que Quorthon avait repris sans vergogne, en prétextant un "collage" !). Nous avons également une biographie plus longue de S. Clay Wilson, disparu depuis.

    La majorité des artistes ont travaillé avec des groupes de Metal, ou de Punk/Hardcore. C'est bien là qu'on voit la séparation dans la musique, et entre les styles des artistes, ou plutôt... leur vision. Pour le punk HC on a plutôt des dessins à la limite du comique, avec de gros yeux, de gros traits, du mouvement, des quéquettes, et des accessoires, dans un environnement qui a souvent une dimension sociale. Le glissement vers le Metal se fait par plus de cadavres, moins de fun. Et on arrive à des oeuvres, comme celles de Timmo Ketola, Musta Aurinko, Jos A. Smith, Paul Henri Toorenvliet (le mec de Lugubrum) qui transcendent tout ça pour n'être que des oeuvres de noirceur pure. Des visions de l'enfer. Tout aussi noir, Lorenzo Mariani oeuvre également dans un autre style, des portraits plus vrais que nature. Il a fallu coller mon oeil aux reproductions pour voir que c'était bien du crayon, et pas une photo.

    Ce bouquin, en tous points, est réussi. On pourra regretter l'absence de quelques illustrateurs de génie, comme Paolo Girardi, Putrid, Chris Moyen ou Daniel Desecrator, mais la qualité est là. Je suis moins sensible aux oeuvres typées "punk", mais cela permet de découvrir le style.

    Les illustrateurs dont une partie des oeuvres sont reproduites dans le livre édité par AJNA sont :

    Sean Aaberg
    Jim Blanchard
    Stephen Blickenstaff
    Andre Bouzikov
    Jeff Gaither
    Sean McGrath
    Ed Repka
    Rich Rethorn
    Mark Riddick
    Frank Russo
    Ross Sewage
    Scott Stearns
    Reuben Storey
    Sean Taggart
    Nor Prego Argibay
    Musta Aurinko
    Bobby BeauSoleil
    Conny Cobra
    Drew Elliott
    Kriss Hades
    Timo Ketola
    Paul McCarroll
    Joe Petagno
    Chris Reifert
    Richard Sayer
    Glenn Smith
    Jos A. Smith
    Strephan Taylor
    Chanel Adair
    Nick Blinko
    Erik Danielsson
    Dennis Dread
    Michel Langevin
    Lorenzo Mariani
    Rob Miller
    Luis Manuel Quiroga
    Pasquale Reca
    Arik Roper
    Jason Storey
    Paul Toorenvliet
    Kristian Wahlin
    S. Clay Wilson

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    Entartete Kunts est dispo :

    en couverture rigide : http://www.forgottenwisdomprod.com/catalog/product_info.php?cPath=38&products_id=4398

    en couverture souple : http://www.forgottenwisdomprod.com/catalog/product_info.php?products_id=4397

  • Dead Congregation - Graves of the Archangels

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    Le Death Metal, c'est à la mode. Okay, c'est vrai. Faut dire, y a de bons trucs. Qui ressucitent une ancienne mode, en faisant la même chose, mais avec un côté plus frais, plus jeune... Mais tous ces groupes, suédois souvent, bon, après quelques écoutes, on repose.

    Pour Dead Congregation, c'est l'inverse. Déjà, si le groupe ne perce que maintenant, c'est grâce à la mode, et tant mieux. Parce que déjà, cet album date de 2008, et que Dead Congregation, c'est la continuation de Nuclear Winter, qui donne dans le Death Metal depuis 1995.
    Et, à l'inverse de pas mal de ces groupes jeunes qui pondent une démo, un mini ou un premier album qui est une tuerie, mais qui dès la suite, dévalent la courbe descendante pied au plancher, nos Grecs de Dead Congregation ne sont pas autant meilleurs qu'avec ce premier album, sorti trois ans après leur premier mini album. Mini album déjà plutôt dans le haut du panier, mais pas autant maitrisé que ce Graves of the Archangels.

    Quels autres mots autres que "argh", "la vache" et "putain" peuvent exprimer ce qu'on ressent à l'écoute de ce tombereau implacable, malsain et destructeur ? Du Death Metal qui a ingurgité le meilleur de Morbid Angel, Immolation, Incantation, et qui a repéré quelques plans et astuces dans le Black Metal.
    Des morceaux riches, bourrés de plans excellents, une mine de breaks, de rythmiques plombées, et loin d'une technique de démonstration, une véritable ambiance ressort du disque, appuyée par les complaintes de choeurs orthodoxes...

    Dead Congregation a sorti la grosse artillerie sur ce disque, et contrairement aux groupes de Death Metal issus de la mode, ce disque, à chaque fois que je le ressors, je l'apprécie toujours autant, voire plus. Rien n'est chiant. De l'intro Martyrdoom, lancinante et longue, jusqu'aux riffs étirés du morceau de fin Teeth into Red, pas un seul instant de trop. L'efficacité complète.
    Et que dire du live ! Je les ai vus trois fois, et à chaque fois, j'ai été conquis, le groupe est porté par son leader charismatique (alors que dans Embrace of Thorns, où il n'est qu'à la guitare rythmique, il est eclipsé par son chanteur aux bras ballants, pas charismatique pour un sou, mais vingt centimètres plus haut que lui !).
    Depuis cet album, un split EP a été sorti et réédité en MCD. Un titre a été remixé pour l'occasion, plus lourd, plus sec, et un nouveau titre, plutôt classique. Verra-t-on jamais une suite à tout ça ??? Je l'espère bien !

    Un titre fabuleux de l'album, le morceau éponyme :

     

    L'album en CD est dispo ici :
    http://www.forgottenwisdomprod.com/catalog/product_info.php?products_id=1808

  • Compendium of Death the art of Mark Riddick 1991-2011

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    Mark Riddick est, avec d'autres illustrateurs comme Joe Petagno, Dan Seagrave, Chris Moyen, ou plus récemment Sickness666, Daniel Desecrator, Putrid, un des incontournables de la pochette d'album Metal d'aujourd'hui, et à plus proprement parler, de pochettes Death Metal, même si on trouve un lot de pochettes Black Metal. Mais au vu de la production... Mark Riddick est un stakhanoviste, et ce livre retrace vingt ans d'illustrations, pochettes, flyers... sur près de 600 pages. Et encore, tout n'y est pas.

    Après quelques pages d'ouvertures où Mark explique son parcours, ses influences, il n'y quasiment plus de texte. Que des images. Ses premières armes, encore jeunes, mais qui dévoilent un talent à venir... les flyers, pages de son fanzine de l'époque, pas mal de photos de lui étant ado (bon il a la même gueule et la même coupe de cheveux vingt ans plus tard, hein) et même de son gamin, c'est normal, Mark Riddick est américain.

    Le gros du bouquin, une accumulation de mort. Un enchainement malsain d'images de cadavres, torturés, torturant, bêtes sataniques, zombies régurgitant boyaux... Un étalage morbide à chaque page.

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    Cet épais bouquin est édité par un label tchèque, Doomentia Records. Pendant ce temps, en France, on va publier la quarantième bio de Metallica, vue par un journaliste français qui les a suivis lors d'une tournée en 1992... plusieurs études sociologiques pour mieux déterminer qui sont les fans de Metal et s'acharner à prouver qu'ils ne sont pas dangereux, mais bien intégrés dans la société, inoffensifs... Mais imprimer un bouquin d'illustrations d'un mec qui fait des pochettes de disques, faut croire que c'est pas assez Metal...

    Un peu plus d'infos sur l'art de Riddick (on ne va pas parler de chroniques !!) :
    http://riddickart.com/

    Et le bouquin est disponible en France ici :
    http://www.forgottenwisdomprod.com/catalog/product_info.php?products_id=4126&osCsid=9c2e52f30d9aa52dc977d5b1803728ef