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Film - Page 3

  • Ray Harryhausen le titan des effets spéciaux

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    J'ai reçu ce DVD suite à un concours auquel j'avais joué, sans grand espoir de gagner... Eh bien belle surprise dans la boite aux lettres pour finir cette année 2013 ! Tout en sachant que 2014 sera pire...
    Un DVD en tout cas bien sympa, une belle initiative et ici, un truc très complet, qui mérite bien un petit mot dans la Crypte !

    Ce documentaire sur Ray Harryhausen - doit-on encore le présenter ? - est le fruit d'un travail de plusieurs années de la part du réalisateur Gilles Penso, qu'a rejoint Alexandre Poncet, en temps que producteur. Le film est sorti au début 2013, et a été dispo avec le magazine Mad Movies. L'édition qui nous intéresse aujourd'hui est une édition 2 DVD, qui rassemble le film, et une chiée de bonus, que nous détaillerons plus tard.

    Le documentaire présente le travail du spécialiste des effets spéciaux old school, non pas le créateur de la technique stop-motion, mais le continuateur, puisque cette technique était utilisée dès 1933 par Willis O'Brien dans King Kong. Le stop-motion, c'est la prise de vue, image par image, d'éléments dans différentes positions, pour créer une séquence, qui sera intégrée dans le film, à part, ou en plus de l'action filmée avec des acteurs. Les squelettes de Jason et les Argonautes, le Cyclope de Sinbad, la Méduse du Choc des Titans, les dinosaures de One million years B.C, c'est le travail de fourmi, acharné, de Ray Harryhausen. Autant dire que ça a influencé un paquet de réalisateurs, interviewés dans ce DVD, qui ne tarissent pas d'éloges sur le maître, et y vont de leur petit hommage. Et effectivement, preuves à l'appui, on constate que quasiment tous les films "modernes" (on va dire comme ça, hein, avec les images de synthèse) s'inspirent ou repompent directement les créations de Harryhausen. C'est à se demander ce que les réalisateurs de maintenant créent réellement, eh eh. De Spielberg à Peter Jackson, en passant par Joe Dante, James Cameron, sans compter les responsables des effets spéciaux, dont le pas moins fameux Phil Tippett nous en apprennent un peu plus sur leur travail, comparé à ce que faisait Harryhausen, décédé en 2013, ultérieurement à la sortie du documentaire. Son interview ainsi que celle de sa fille nous en apprennent sur ses techniques parfois très artisanales et débordant dans la cuisine familiale !
    Hormis les repompages de séquences, les réalisateurs et responsables des effets spéciaux parlent beaucoup du travail actuel, par ordinateur, et plusieurs pointent la prédominance des CGI, comepiouteur génératède imadgiz, et la débauche d'effets, qui finit par tuer l'effet, justement, en comparant avec la simplicité (toute relative hein) des figurines articulées, mais animées avec génie. Quand on voit les trucs en latex, y a de quoi sourire, mais faut bien reconnaître que les effets ne jurent pas dans ces films, et que ça fonctionne. En même temps... J'ai vu le Choc des Titans et Jason quand j'étais gamin, et le premier film qui utilisait des effets spéciaux par ordi, c'était Abyss (oui, je n'ai pas dit Tron !), bluffant, mais ce qui a vraiment marqué le début des hostilités, c'était Terminator 2 et après Jurassic Park. Or qui a eu 12 ans avant ces films, n'avait que les effets en stop-motion comme référence. Un gars de 18 ans maintenant trouverait ça certainement ridicule, dépassé... et retournerait glander sur Facebook ou twitter pour passer le temps du vide de son existence sans culture...

    Bref. Ce documentaire est tout de même réservé aux fans de cinéma fantastique, d'effets spéciaux, et de magie. Le deuxième DVD de cette édition collector contient toute la matière qui n'est pas dans le film. Les interviews complètes, coupées, non présentes dans le film, extraits de films et bandes annonces, première du film à Londres... Une manière de rien laisser de côté pour les réalisateurs qui se sont donnés à fond. Pas forcément indispensable, mais ça a le mérite de l'exhaustivité et de vraiment faire le tour de la question. Notons également une interview des réalisateurs, qui exposent leurs motivations et le process général, et une version commentée du film. Bon... autant les 15 minutes d'interview sont intéressantes, autant je n'ai pas suivi le film commenté, parce que bon... je ne suis pas sûr de vraiment voir l'intérêt là. Une suite d'interviews montées avec des images d'époque, extraits de films... faut vraiment en vouloir pour en écouter des commentaires. Surtout que le DVD bonus comprend tout ce qui a mérite d'être rajouté.

    Deuxième bref pour conclure cette note. Un documentaire qui plaira à tous les fans de cinéma fantastique old school, et surtout... une réalisation française ! Ca méritait d'être dit !

  • RIP Georges Lautner

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    24 janvier 1926 - 22 novembre 2013

     

    Georges Lautner est mort ce jour. Un des derniers réalisateurs de grands films populaires des années soixante à quatre-vingt, parmi lesquels, les inénarrables Tontons flingueurs et sa fausse vraie suite les Barbouzes (vraie puisqu'on reprend un peu les mêmes personnages et on recommence, fausse puisque ce n'est pas tiré d'un livre d'Albert Simonin, père de la "trilogie du Grisbi"), mais encore la série des Monocles (le précurseur d'OSS 117 version Dujardin !) et plusieurs Belmonderies. Il aura fait tourner Gabin dans le Pacha, après l'avoir écarté des Tontons flingueurs au profit de Lino Ventura, ce qui l'a propulsé au devant de la scène, après plusieurs apparitions remarquées au côté de Jean Gabin, justement.

    On sourira en repensant au Monocle rit jaune, avec l'apparition éclair de Lino Ventura, assez énervé dans le film, réponse à l'apparition de Paul Meurisse dans les Tontons, tout ça sous l'œilleton cinématographique de Lautner.

    Il aura même fait tourner un petit joueur de poker, chanteur hué dans le stades, dans la Maison assassinée en 1988. Une erreur de casting qui s'en sort tout de même bien, dans un film ma foi plutôt réussi.

    En bonus, la bande annonce des Tontons, excellente bande annonce, qui fait mouche ! Et qui, cinquante ans plus tard, ne manque pas de sel :

  • The Resident

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    Le retour des studios Hammer en 2011... un logo qui défile façon Marvel... Et Christopher Lee au générique, qu'est-ce que donne ce "Resident", en français "la Locataire" ?

    Il faut l'avouer d'entrée de jeu, pas grand chose. Ce film ne restera pas dans les mémoires, et la Hammer n'a pas dû faire beaucoup de bénefs avec cette histoire de locataire.

    Une jeune femme (Hilary Swank), en pleine rupture sentimentale, cherche un appart, et tombe sur un petit bijou en plein New York, un truc à tomber pour une bouchée de dollars. Le proprio (Jeffrey Dean Morgan) est sympa, en plus, alors Hilary n'hésite pas une seconde à lâcher une poignée de pain pour payer le loyer. Elle est chirurgien, ça aide. Un peu inquiétant, le grand-père du proprio (Christopher Lee himself) file un peu les pétoches, mais en fait... il est plutôt sympa.

    Vous le sentez venir gros comme un camion. Petit regard entre l'ascendant et le descendant, y a un des deux qui est un pervers et la pauvre nana va en faire les frais. Et on est seulement à neuf minutes du film...
    Le pot aux roses est assez vite dévoilé, il ne reste qu'à attendre sagement la fin du film pour en connaître le dénouement, évidemment, dans les dernières minutes.

    Une succession de clichés, ce film. La copine/collègue noire qui incite l'héroïne à baiser avec le proprio, la bande son grinçante et pleine de bruits qui font peur, l'ex-petit ami qui déboule, que l'héroïne découvre mort en tombant dessus dans un coin sombre, et un méchant qui meurt et qui ne meurt pas, et qui remeurt, qui est plus résistant qu'une armée entière... Evidemment.

    Et pourtant, malgré cette accumulation de points assez négatifs, j'ai regardé ce film sans déplaisir. On pense à un mélange entre Rosemary's Baby, Psychose et la série avortée 666 Park Avenue, mais sans aucun élément "fantastique". La psychologie déviante du proprio est réglée en trois lignes de dialogue avec l'aïeul. Pourquoi suis-je resté alors ?

    C'est bien filmé, c'est même assez joli. Le réalisateur, Antti Jokinen est finlandais. Marrant, Renny Harlin est producteur exécutif. Et vu qu'il est finlandais... Quelques vues extérieures, le pont de Brooklyn, et surtout, l'appartement de l'immeuble. Ici on ne va pas s'apesantir sur l'architecture extérieure du bâtiment, c'est surtout l'appartement en lui-même. Ben j'aimerais bien avoir le même. En fait, à voir ce film, j'aimerais bien habiter à New York ! C'est dire si ça rend bien à l'écran.
    Et puis, il y a Hilary. J'ai dû voir deux films avec elle, et elle ne m'avait pas trop fait grand chose... Mais là... elle est bien choucarde. Et Jokinen fait tout ce qu'il peut pour filmer son cul, ses nibards et son intimité. Sortie du bain, petite culotte pour aller se coucher, on voit même le renflement du ticket de métro pubien. Ils sont chauds les Finlandais !

    Reste donc un film vu et re-vu, mais sans prétention, et avec un intérieur charmant. 0/20 dans Mad Movies, mais 18/20 dans Campagne Décoration.

  • Thorgrim 1 - Conan 0

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    Thorgrim se venge de Conan qui a tué son serpent, qu'il a élevé depuis tout petit.

    Une photo amusante de Schwarzeneggerer de son pote de muscul', Sven-Ole Thorsen, qu'on retrouve dans quasi tous les films Schwarzenegger des 80's et jusqu'à milieu des 90's... Reportez-vous à ma note sur Ronal le Barbare pour les détails ! http://lacrypteduchatroux.hautetfort.com/archive/2012/11/03/ronal-le-barbare.html

  • RIP Denys de la Patellière

    tiré de http://www.nordlittoral.fr/actualite/France_Monde/Breves_France-Monde/2013/07/22/article_deces_de_denys_de_la_patelliere_realisat.shtml

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    Le cinéaste français Denys de La Patellière, réalisateur notamment de "Un taxi pour Tobrouk", est décédé dimanche à Dinard (Ille-et-Vilaine) à l'âge de 92 ans, a annoncé son fils à l'AFP.

    Denys de la Patellière a réalisé quelques uns des grands succès populaires du cinéma des années 50 et 60, dont "Un taxi pour Tobrouk", "Du rififi à Paname", "Le Tatoué" ou "Les grandes familles", et fait jouer les plus grandes stars de l'époque.

    Né Denys Dubois de la Patellière le 8 mars 1921 à Nantes dans une famille anoblie pendant la Restauration, fils d'un officier de carrière et dernier de sept enfants, il prépare Saint-Cyr lorsque la guerre éclate. Il entre alors dans l'Armée de libération et perd deux de ses frères engagés dans la Résistance.

    Après la guerre, il décide de faire du cinéma et est engagé comme ouvrier développeur dans un laboratoire, avant de devenir monteur aux "Actualités françaises". Il est ensuite second assistant réalisateur, puis premier assistant, et réalise son premier film en 1955, "Les aristocrates" avec Pierre Fresnay.

    Défilent ensuite devant sa caméra le gotha du cinéma de l'époque, dont Danielle Darrieux, Jean Gabin et Lino Ventura. Il tourne notamment "Le salaire du péché" (1956) avec Jeanne Moreau et Danielle Darrieux, "Retour de manivelle" (1957) avec Michèle Morgan, "Les grandes familles" (1958, d'après le roman de Maurice Druon) avec Jean Gabin, Pierre Brasseur et Bernard Blier, "Du rififi à Paname" (1965) avec Jean Gabin et Mireille Darc.

    Son plus grand succès fut "Un taxi pour Tobrouk", en 1960, avec des dialogues de Michel Audiard, qui fit de Lino Ventura une star. Les aventures pendant la Deuxième guerre mondiale à travers le désert africain de quatre soldats français que le hasard réunit, et de leur prisonnier allemand, a été maintes fois diffusé à la télévision.

    "Cinéma à la papa"

    Denys de La Patellière a réuni également Jean Gabin et Louis de Funès dans "Le tatoué" en 1968.

    Il a travaillé avec Michel Audiard, Pascal Jardin et Alphonse Boudard pour les dialogues de ses films. Vivement critiqué par les jeunes loups de la Nouvelle Vague pour son "cinéma à la papa", il disait plusieurs années plus tard ne pas leur en vouloir. "De nouveaux réalisateurs devaient se faire une place et ils n'avaient pas tort. Si on ne veut pas prendre de coups de poing, on ne monte pas sur le ring", déclarait-il au Figaro en 2002.

    "J'étais un metteur en scène commercial et ce n'est pas pour moi un mot péjoratif. Je n'avais pas l'ambition de faire une oeuvre mais de réaliser des spectacles et d'intéresser les spectateurs", ajoutait-il.

    Son dernier film pour le cinéma fut "Prêtres interdits" (1973) avec Robert Hossein.

    Paris (AFP)© 2013 AFP

     

    En dehors de son taxi pour Tobrouk, Denys de la Patelière reste pour moi un des réalisateurs avec Gilles Grangier de quelques classiques avec Jean Gabin. Une réputation de cinéaste pépère, et alors ? Pas besoin de tourner la caméra dans tous les sens. Les acteurs étaient correctement filmés ! Les grandes Familles, excellent drame sur une famille bourgeoise et nantie de pognon... avec un Pierre Brasseur magnifique en cousin décadent... Le Tatoué, la troisième rencontre de Gabin avec De Funès, et une certaine incompatibilité entre les acteurs, mais un film excellent... Du rififi à Paname, magique, avec Gabin comme caïd, souteneur bien installé dans un Paris luxure pré-1968... avec une Mireille Darc, dans le rôle de la pute, pour la énième fois, mais toujours aussi belle...

    Je pensais que Denys de la Patelière était déjà décédé, ne sachant trop le situer... Avec sa disparition, encore un peu de France qui s'en va, nous laissant derrière eux avec la dégénérescence actuelle...
    Ses films resteront immortels.

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  • La vie privée de Sherlock Holmes

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    Les films, séries sur Sherlock Holmes sont pléthores. Ou plutôt sont "légion, car nous sommes nombreux", hu hu hu.
    On y croise un peu de tout, de la copie calquée des livres à plus de fantaisies... Par exemple, le Chien des Baskerville de la Hammer de 1958 avec Peter Cushing et Christopher Lee prend quelques libertés avec le roman, en plaçant une introduction dans un autre siècle, et en changeant les rôles de quelques personnages... Une version des années 70 (me souviens plus laquelle, désolé m'sieurs dames !) était elle trait pour trait ce que le roman racontait.
    Aujourd'hui, nous avons la Vie privée de Sherlock Holmes, de Billy Wilder, de 1970. Le titre a une évocation grivoise, plutôt démentie dans la seconde partie du film. Point d'érotisme bis dans ce film, mais une approche de Sherlock Holmes assez différente de celles de l'époque (enfin des époques, entre 1958 et 1970, y a un monde, cinématographique, et culturel). Une approche si différente qu'elle me fait largement penser à la version de Guy Ritchie, avec Robert Downey Jr et Jude Law. Comme dans cette version récente, on oscille entre comédie et thriller, avec une bonne pincée d'humour anglais, of course. Les relations amicales entre Holmes et Watson rappellent celles de l'Iron Man et du sniper de l'Oural, et si la version récente flirte avec l'homosexualité (c'est à la mode, pour être normal, faut être homo... vivement que le lobby cannibale fasse pression pour que manger ses parents, ça devienne normal, et une preuve d'affection !), ici l'homosexualité n'est suggérée que sous la forme de boutade (Sherlock fait croire qu'il l'est, avec Watson, au grand dam de ce dernier, en pleine danse avec de nubiles russes, qui finalement le laisseront aux mains de danseurs en collants et aux yeux maquillés...). Holmes passe pour un homme peu intéressé par les femmes en apparence, mais s'avère plus fragile, blessé par des amours impossibles. En ressort une sorte de mépris légèrement misogyne des femmes...
    Mais quand une femme somnanbule lui tombe tout cuit, à poil, dans les bras, il ne fait pas un pas d'écart en criant "olé !", il récupère le paquet. Je pense que cette scène a été un brin censurée à l'époque (un DVD assez récent contiendrait de fameuses "scènes coupées"), car la plastique de Geneviève Page, ouch, jolie chute de reins ! Toute personne normale se serait laissée aller à la filmer un peu plus longtemps dans ces atours...

    La partie suspense du film est plus planplan, mais l'enquête est intéressante. Le frère de Holmes intervient, le fameux Mycroft Holmes, sociétaire du Diogen's Club (officine à peine déguisée du MI5 ou MI6 !!!), sous les traits de Christopher Lee. La confrontation des frères est savoureuse, entre balais dans le cul et répliques au vitriol. Holmes se voit contraint par son frère d'abandonner son enquête, où la jeune femme, appelle le détective au secours pour retrouver son mari. C'est sans compter la ténacité et l'astuce de Holmes, et notre équipée part pour Inverness, en Ecosse, retrouver le mari, et se confronter au terrible monstre du Loch Ness.
    Ca me fait penser, il faut absolument que j'aille en Ecosse pour faire du tourisme. Les Highlands, les châteaux, les cascades, les reliefs... ça donne bigrement envie.

    Des nains, le monstre du Loch Ness, le MI5, des armes terrifiantes de nouvelle génération... on est dans une enquête entre fantastique et théorie du complot... et on est en 1970 ! Le film n'est pas une adaptation d'un Conan Doyle, on peut tout de même se demander s'il n'y a pas une influence Jean Ray derrière...
    Egalement, on peut se demander si ce film n'a pas influencé à son tour d'autres auteurs, y a un petit côté Ligue des Gentlemen extraordinaire là dedans...

    Et en dehors de l'enquête et des paysages superbes d'Ecosse, une atmosphère délicieusement victorienne, très anglaise, des intérieurs décorés, de la bibliothèque qui dégueule de volumes, des murs chargés de tableaux... que du bonheur !


    Signalons que le scénario du film a été édité chez Néo (évidemment, il faudrait un jour que quelqu'un se décide à leur dresser une statue, un truc, je sais pas, on doit beaucoup de choses à Néo ! Y compris un rythme de traductions un peu trop soutenu pour que le résultat soit parfait, n'est-ce pas François Truchaud ! Enfin bon...), avec une couverture un peu racoleuse, mais qui irait tellement bien dans ma bibliothèque...

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